En 1916, la Grande Guerre a commencé, Freud écrit le texte « Éphémère destinée »[1]. Il y décrit la joie que le Beau lui procure durant une promenade dans un paysage d’été en fleurs. Sa joie n’est pas gâchée par la « fugacité universelle », contrairement à celle du jeune poète qui l’accompagne, Rainer Maria Rilke. Le sentiment douloureux de dégoût du monde qu’il perçoit chez celui-ci et, plus généralement, la révolte contre la chute dans le néant des splendeurs présentes dans